Avec 10% dans les instances dirigeantes, 27% à l’Assemblée Nationale (soit la 8ème place en Europe) et 22% au Sénat, les femmes sont très peu représentées dans les sphères du pouvoir en France.
Lorsqu’elles parviennent à se hisser au sommet des instances dirigeantes de l’entreprise, elles sont généralement moins bien rémunérées que les hommes (un écart de près de 20% en moyenne).
Pourtant, elles représentent plus de la moitié de la population de notre pays.
Comment expliquer une telle disparité ?
Comment expliquer que les mondes économique et politique entretiennent un tel désaccord par rapport à la société alors que les femmes qui accèdent aux affaires sont généralement fortement diplômées et se signalent, lors de leur parcours universitaire, par de grands succès ?
A cela probablement plusieurs explications qui tiennent tant à des données culturelles que personnelles et individuelles. Très souvent, elles cumulent plusieurs rôles en un laps de temps très court, partagées entre leurs fonctions de managers, de conjointe, de mère, de responsables associatives … Elles sont remarquables, mais bien souvent à leurs dépens !
Il en est ainsi dans notre société où la culture – notamment d’entreprise – exige de la femme qu’elle soit plusieurs fois supérieure à un homme pour pouvoir être reconnue.
A tout cela il faut ajouter que les réseaux de pouvoir ont pour principale caractéristique d’être encore très masculins.
Face à cette réalité, nombreuses sont celles qui ont décidé de prendre leur destin en main et de faire bouger les lignes. Elles sont aidées en cela par les pouvoirs publics, qui prêtent leur concours pour provoquer les changements nécessaires.
Des problèmes sous-jacents
Mais n’y aurait-il pas, de façon sous-jacente, d’autres problèmes ? Nombreuses sont les femmes qui entretiennent un doute, conscient ou inconscient, sur leurs propres capacités à accéder au leadership ; redoutable manque de confiance en soi qui les pousse à ne jamais se sentir légitimes. Ainsi en arrivent-elles à brider elles-mêmes leurs compétences.
Parfois, lorsqu’elles parviennent à incarner des fonctions de leaders, elles se fondent dans l’archétype masculin, suscitant une malheureuse confusion entre leadership, charisme et agressivité.
Peut-être reste-t-il donc à la plupart des femmes à se convaincre qu’elles peuvent et doivent incarner les fonctions de leaders sans jamais rien céder de leur féminité.
Pourquoi n’auraient-elles pas, naturellement, la capacité de mobiliser les énergies ? Pourquoi le pouvoir de décision leur serait-il, a priori, enlevé ?
Résoudre ces problèmes présuppose une prise de conscience de la part des intéressées.
Ce n’est qu’après que des actions peuvent être entreprises en vue d’une transformation pour, finalement, aboutir à une affirmation de soi, de son charisme, de son efficacité.
Seul un travail de fond permet d’installer peu à peu de nouveaux comportements ; des changements s’opèrent dans les attitudes, le discours, le langage, les expressions, le vêtement …
De proche en proche, la femme manager entre dans la posture identitaire de la femme leader.
Au terme de cette évolution, d’ailleurs rapide, elle prendra plaisir à se sentir plus sûre dans sa fonction de leader, en même temps que sa féminité sera préservée, voire même valorisée.
Des résultats concrets
Au plan des résultats, la femme qui aura accepté de réaliser ce travail sur elle-même aura acquis une nouvelle vision de son leadership, fondé sur sa féminité.
Elle se percevra comme « habitée par sa fonction ». Affirmer sa présence et convaincre ses collaborateurs ou son auditoire lui paraîtront naturels. Son efficacité ira de soi pour elle, et donc, pour son entourage. Sa féminité préservée lui garantira ce nécessaire équilibre entre vie professionnelle et vie privée et respectera ses valeurs.
Elle pourra s’introduire davantage dans les réseaux, outils essentiels à sa progression ; et cela quelle que soit leur composition, seraient-ils peuplés uniquement par des hommes.
C’est au plus profond d’elle-même que la femme qui aspire à un leadership incontesté va trouver les solutions pour son évolution. Mon accompagnement est destiné à faciliter ce changement, à le consolider et à l’inscrire durablement dans le temps. Briser le plafond de verre deviendra une réalité.
Quelles sont mes garanties ?
Conformément aux dispositions décrites sous la rubrique «pratique et déontologie », et celles relatives au « coach », je rappelle que :
- ma compétence est fondée tant sur des acquis rigoureux et exigeants que sur une expérience reconnue,
- un suivi constant de l’actualité politique, économique et sociale de ma part,
- une stricte confidentialité,
- un contrat aux termes duquel je m’engage sur la durée de votre accompagnement,
- un accent particulier est mis sur le fait que mon rôle se limite à celui d’un facilitateur m’interdisant d’exercer toute influence sur vos choix et décisions.
- l’esprit de mes interventions est la bienveillance et l’absence de tout jugement.
Ensemble, réinventons votre propre modèle de leadership : devenez une femme-leader !